jeudi 24 septembre 2009

Un cunnilingus métembordotique

Un nouveau petit tour du cunnilingus dans la litterature psychanalytique à partir du site psychanalyse-Paris.com. On va bien rire.

Selon une théorie de Dimitry Stéfanowsky Substitut du procureur impérial à Iarosawl (Russie) « Le Passivisme », Archives de l’Anthropologie criminelle et des sciences pénales, Éd. Storck, Lyon, 1892, le  cunnilingus est un passivisme.

Le passivisme, doit constituer une forme à part de la folie érotique, à côté du sadisme, dont elle présente justement le contraire. La volupté du premier, c’est la volupté d’un bourreau ; la volupté du second, c’est la volupté d’un martyr.

Le passivisme moral consiste surtout en humiliations et avilissements devant une femme. On y doit mentionner aussi les goûts pervers pour les sécrétions du corps féminin, les cunnilingus, les stercoraires (Taxil, La prostitution contemporaine), les renifleurs (Tardieu), etc. Je connais un vieux négociant russe qui venait souvent dans une maison publique et largement régalait les filles, qui devaient cracher dans un verre, après quoi il avalait ces crachats avec énorme plaisir.

Et bien ça commence bien vous êtes encore là? 




Les seins et les fesses du corps de la pas-toute sont les pôles du circuit oralanal qui doivent se nouer au pénis afin de renforcer les symbolisations possibles des sécrétions correspondantes, via les figures ‘mythypiques’ de la branlette ‘espagnole’ (‘titfucking’) et de la sodomie. En revanche, cunnilingus et fellations (donc aussi 69) nouent les débords imaginaires nécessaires (les traces orgasmiques, plus-de-jouir : le cri et le sperme), ce qui signifie que ce sont les positions transcendantales de la pornographie métembordotique, contrairement aux pénétrations vaginales qui sont les figures principielles des métennévrose (par le viol) et métempsychose (par le sublime).

Le Corps de la Pas-Toute où la Pornocratie s’y nique, Aurélien MARION


J'adore ce language fleuri, mais je me méfie toutefois de son impact sur les patient : liberatoire ou enfermant.

Lécher, est-ce encore une maladie ?

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Pour adoucir ou pervertir cette lecture les photos sont de Trevor Watson.

 Je prends soin de votre santé mentale et rajoute ce lien vers Chagrin


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